11 / 12 / 2019
En seulement deux films, l’Américain Robert Eggers s’est déjà fait un nom dans l’univers très (trop ?) rigide du cinéma de genre. Il faut dire qu’à l’instar d’un Ari Aster (Midsommar), d’un Trey Edward Shults (It Comes at Night) ou d’un Babak Anvari (Under the Shadow), l’auteur de The Witch n’hésite pas à tordre le cou aux conventions pour mieux laisser s’exprimer sa singulière sensibilité. Une démarche que le cinéaste revendique ici, sans pour autant sombrer dans l’autosatisfaction.
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