14 / 10 / 2020
La littérature fantastico-horrifique précède naturellement le cinéma dans l’expression artistique de la peur et de ses innombrables vecteurs. Elle n’a jamais cessé d’alimenter les scénaristes, qui se sont nourris aussi bien de ses mythes immortels que de l’imaginaire d’artisans plus confidentiels, mais pas moins imaginatifs. De la page à l’écran, entre symbiose et trahison, s’opère un processus mystérieux que nous avons choisi d’explorer à travers une sélection de mémorables transpositions cinématographiques de fleurons de l’épouvante papier.
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