09 / 02 / 2018
Une robinsonnade qui tourne au fantastique sexuel, des paysages réels filmés comme des décors de studio (et inversement), de jeunes hommes joués par des actrices androgynes, un noir & blanc somptueux lardé de jaillissements colorés… Déjà auteur d’une palanquée de courts surréalistes, Bertrand Mandico nous ouvre certaines des portes d’entrée sur Les Garçons sauvages (voir la critique en encadré), premier long-métrage foisonnant où se bousculent un tas d’influences diverses.
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