12 / 07 / 2017
Pris au piège
Pour son treizième long-métrage (hors productions télévisuelles), Álex de la Iglesia semble revoir ses ambitions à la baisse, en comparaison des épiques Balada Triste et Les Sorcières de Zugarramurdi. Mais ce huis clos permet au contraire au cinéaste de dresser un portrait nihiliste de ses affreux contemporains, dont la cohabitation entre les murs d’un bar populaire ne se fait pas sans éclaboussures.
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