Comme souvent, l’innovation en matière de cinéma fantastique vient d’une petite production qui ne paie pas de mine, tout entière axée sur l’observation d’un septuagénaire fatigué par un gamin pas très équilibré.
Comme souvent, l’innovation en matière de cinéma fantastique vient d’une petite production qui ne paie pas de mine, tout entière axée sur l’observation d’un septuagénaire fatigué par un gamin pas très équilibré.
Beaucoup de chair et de perversions étalées sur les écrans cannois cette année avec la convocation d’infectés hystériques,
d’étudiants cannibales, de vampires urbains et du Diable, en toute simplicité.