Recherche de "Les Soucoupes volantes attaquent"

Alors que Hollywood nous balance de la gloumoute XXL à destination des multiplexes, revisitons certains des plus atypiques goliaths du genre, histoire de rappeler que les monstres géants ne font pas que piétiner des immeubles ou bouffer du quidam : ils ont aussi – parfois – des choses à dire. Ou, plus simplement, le mérite d’incarner une iconoclastie naïve qui a fait tout le sel d’un cinéma parfois psychotronique, même si pas toujours de façon intentionnelle…

Certes, le nom « Hammer » reste le plus évocateur du fantastique anglais des années 60/70. Mais dans ce domaine, il ne faut pas oublier la Amicus, une société fondée par deux Américains venus croquer à pleines dents dans le pudding british.

Les monstres géants ne seront pas le seul cadeau que fera Ishirô Honda à la science-fiction : entre mutants, odyssées sous-marines et un choc des mondes, sa filmographie continuera à explorer l’imaginaire, avant de s’achever sur une note mélancolique.

Avec au moins deux oeuvres majeures (LE LOUP-GAROU, VAUDOU) et quelques bons films (LA BÊTE AUX CINQ DOIGTS, LE RETOUR DE L’HOMME INVISIBLE…), Curt Siodmak compte parmi les scénaristes les plus efficaces de l’Âge d’Or du fantastique hollywoodien des années 30 et 40. Mais ce n’est là que l’une des cordes à l’arc d’un homme complexé par la figure du grand frère Robert…

Pablo Helman a rapidement gravi les échelons de l’industrie des effets spéciaux et entame très tôt une collaboration suivie avec Steven Spielberg. Il nous explique ici les enjeux technologiques de la franchise Indiana Jones.