10 / 05 / 2017
Pet
Un homme et une femme en somme, mais sans les « Chabadabada » de Francis Lai pour Claude Lelouch. Ici, l’ambiance musicale serait plutôt aux violons grinçants de Bernard Herrmann, à des notes discordantes, à l’instar de ce qui se trame dans la caboche de ses deux principaux personnages.
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