Son travail documentaire a occupé toutes les conversations cinéphiles dès 2010 avec rien moins que le faux procès du créateur de Star Wars via The People vs. George Lucas. Par la suite, qu’il s’intéresse à Psychose, Alien ou L’Exorciste, Alexandre O. Philippe a toujours trouvé des moyens inédits et foisonnants de traiter des sujets en apparence rebattus. En attendant You Can Call Me Bill, son très prometteur portrait de William Shatner, parlons bien, parlons Lynch, à l’occasion de la sortie en salles de Lynch/Oz le 31 mai prochain sous la bannière Potemkine Films.
Plus de 55.000 spectateurs, une programmation monstre, des événements passionnants : la 37e édition du festival bruxellois, célèbre pour son ambiance ultra festive, restera, à n’en pas douter, mémorable.
De passage à Paris, Mamoru Hosoda nous a accordé près de trois quarts d’heure pour décrypter les thèmes et la structure de Miraï, ma petite soeur. Génie du cadre et scénariste hors pair, l’artiste se révèle être aussi incroyablement chaleureux sur le plan humain, ce qui ne gâche rien…
Occupé depuis son joyeusement grotesque PIRANHA 3D à écrire et/ou produire les longs-métrages des copains (MANIAC et THE PYRAMID), Alexandre Aja revient derrière la caméra avec HORNS, un « film crash-test » pour le romancier Joe Hill, rejeton du plus célèbre et prolifique auteur de l’Histoire du fantastique.
Une petite causerie avec William Friedkin, ça ne se refuse pas. D’autant que le bonhomme est là pour défendre Bug, son meilleur film depuis des lustres. Si le silence est d’or, les mots de monsieur Friedkin sont de diamant…