Recherche de "La Nuit du chasseur"

En 1987, Boaz Yakin traîne sur le plateau de RobocCop où son père, le mime Moni Yakim, est engagé comme coach de Peter Weller. Ayant le cinéma dans le sang, Yakin signe quelques années plus tard les scénarios de Punisher et La Relève, avant de passer à la réalisation avec Fresh et Le Plus beau des combats, et de produire les deux Hostel. À l’occasion de la sortie vidéo de son dernier long-métrage, l’excellent L’Internat, Yakin a accepté de revisiter pour nous sa très éclectique carrière.

Parlant d’une seule voix au point que nous avons renoncé à séparer leurs propos respectifs, les duettistes aux commandes de Sicilian Ghost Story nous expliquent pourquoi ils ont choisi de raconter une âpre tragédie mafieuse sous la forme d’une fable remplie d’échappées oniriq

Dans le puissant Hérédité, les failles d’une famille sont exploitées par d’obscures forces pour la pousser au bord du gouffre. Une mécanique souvent utilisée dans le genre, qui pourrait presque être une catégorie cinématographique en soi. D’où notre envie de partager avec vous quelques films qui prennent un malin plaisir à faire éclater de l’intérieur l’illusoire cocon de sécurité que constitue la sacro-sainte cellule familiale, socle bien fragile d’une société vacillante…

Second couteau affûté abonné aux rôles de dingo, Bill Paxton nous a quittés prématurément le 25 février dernier alors qu’il n’avait que 61 ans, laissant derrière lui un paquet de rôles mémorables et une première réalisation digne de La Nuit du chasseur.

Un western zébré de striures tout à tour insolites, réalistes et sadiques : c’est cool, mais on ne peut pas dire que la mayonnaise prenne complètement.

Chaque mois, l’homme de lettres Christophe Lemaire vous fait réviser votre alphabet tout en abordant l’actualité sous un angle très… personnel.

Pervers contre enfants, le Mal contre l’innocence. Un affrontement crucial, primordial, que certains cinéastes ont transformé en un jeu dont la subtilité confine parfois au sadisme.

Alors que son excellent FRANKENSTEIN est distribué avec Mad Movies, Bernard Rose (PAPERHOUSE, CANDYMAN, MR. NICE) se prête avec plaisir au jeu du Give Me Five.

Une authentique série B redneck eighties qui convoque le western, l’horreur, le snuff et le thriller coréen : voilà ce que nous propose Jim Mickle. Un plaisir d’autant plus impossible à refuser qu’on pourra découvrir la chose en salle, miracle de plus en plus rare pour ce genre de spectacle !