Recherche de "L'Enfer des zombies"

La ressortie en salles, le 17 juillet chez Les Films du Camélia, de quatre psycho-thrillers du Maestro datant de sa période « pré-zombies » permet la réévaluation d’oeuvres longtemps considérées comme transitionnelles, mais dont la popularité ne cesse de croître auprès des fans, et dont les thématiques se révèlent particulièrement en phase avec notre temps.

Cela ne vous aura pas échappé : le marché de la vidéo spécialisée connaît un second souffle depuis que les éditeurs français ont opté pour une approche « haut de gamme » pas si éloignée de celle adoptée par l’industrie musicale via le retour en force du vinyle. Nous sommes donc allés à la rencontre de ces (petits) Gaulois qui se battent contre vents et marées pour transmettre leur passion du genre. DOSSIER RÉALISÉ

Celui qui a été pendant sept ans le directeur photo fétiche de Lucio Fulci nous explique comment il a donné une traduction concrète aux visions infernales de l’auteur de L’Au-delà.

Même s’il avait déjà tâté de l’horreur dans des westerns sadiques et des thrillers, le maestro y plongeait complètement avec ce film révolutionnaire, qui transcendait son statut de vil plagiat pour emmener le gore sur les rives du surnaturel. Un monument qui accompagne ce mois-ci votre Mad en version DVD.

Chaque mois, l’homme de lettres Christophe Lemaire vous fait réviser votre alphabet tout en abordant l’actualité sous un angle très… personnel.

Coup double pour l’auteur de Martyrs. Grand Prix mérité à Gérardmer, son nouveau long-métrage a effectivement de quoi attirer les faveurs du public. Mais ce n’en est pas moins une oeuvre piégée qui joue avec nos perceptions, avant de nous toucher en plein coeur.

Durant la première partie de sa carrière, Giannetto De Rossi s’attache à embellir les stars italiennes et étrangères. Au milieu des années 70, il glisse du glamour à l’horreur totale lorsqu’on lui demande d’imiter les morts-vivants du Zombie de George Romero. Grand écart pour un artiste qui manie avec la même inventivité le crayon à sourcils et les prothèses de chair putréfiée

Dès demain et ce jusqu'au 29 janvier se déroule à Gerardmer l'incontournable rendez-vous du film fantastique. L'occasion pour nous de faire un petit récapitulatif des films "en" et "hors" compétition, de revoir les bande-annonces, d'en relire les articles dédiés et d'éplucher leur distribution afin de briller en société.

Nous avions déjà interrogé l’auteur de CONTAMINATION et STARCRASH, LE CHOC DES ÉTOILES sur sa collaboration avec Dario Argento dans le hors-série consacré à ce dernier, et nous reviendrons prochainement sur ses films d’heroic fantasy. Ici, nous avons donc choisi de le faire parler avant tout des arcanes pittoresques de l’industrie de la série B italienne, aujourd’hui défunte. D’autant qu’après 25 ans de silence, Luigi Cozzi effectue son comeback avec un long-métrage tourné en toute indépendance, BLOOD ON MÉLIÈS’ MOON, qu’il vient de présenter en première mondiale au BIFFF où il était également membre du jury.

Sélectionner un code bien particulier d'un genre usé jusqu'à la moelle, et l'étendre sur un film entier dans le but de rallumer la flamme, ce n'est pas une mauvaise idée en soi. C'était après tout la démarche de M. Night Shyamalan à ses débuts, pour des résultats stratosphériques.