Recherche de "John Hughes"

De La Guerre des étoiles à Aquaman en passant par Indiana Jones, Le Seigneur des Anneaux et Avatar, Benedict Coulter a monté ou produit quelques-unes des bandes-annonces les plus célèbres de l’Histoire du cinéma. Rencontre avec un artisan de l’image dont l’incroyable destin hollywoodien a commencé dans le 6e arrondissement, à Paris…

Bien connu de nos lecteurs béophiles, La-La Land Records vient de fêter ses 16 ans d’existence et s’est imposé comme le label de musique de film le plus Mad de la planète. L’occasion pour Matt Verboys, qui le dirige en compagnie de M.V. Gerhard, de nous raconter cette aventure placée sous le signe du cinéma de genre.

Créer l’émotion en racontant la jeunesse du « Cannibale de Milwaukee », l’un des tueurs en série les plus répugnants de l’Histoire des États-Unis : un pari impossible pourtant réussi par un film qui s’impose comme le plus perturbant du genre depuis Le Sang du châtiment de William Friedkin.

Envie d’un thriller pour ados pas trop bête et confectionné avec un minimum de sérieux ? Alors Happy Birthdead pourrait bien être votre came, le quatrième long-métrage de Christopher Landon se révélant être un produit de consommation courante tout à fait recommandable, à défaut de se montrer révolutionnaire.

On aurait aimé ne pas avoir à comparer cette nouvelle version de Spider-Man avec la trilogie de Sam Raimi ou les deux longs-métrages de Marc Webb. Seul problème : ce reboot signé Marvel se positionne ouvertement en double négatif des précédentes itérations, la plupart des choix créatifs ayant été pris en réaction aux adaptations existantes. Proposer une lecture originale du comics, pourquoi pas, encore faudrait-il que le ton ne contredise pas la nature profonde du personnage.

Second couteau affûté abonné aux rôles de dingo, Bill Paxton nous a quittés prématurément le 25 février dernier alors qu’il n’avait que 61 ans, laissant derrière lui un paquet de rôles mémorables et une première réalisation digne de La Nuit du chasseur.

N’avez-vous pas remarqué une recrudescence de logos chinois en amorce de vos séances du samedi soir ? Une apparition en masse de stars asiatiques dans vos blockbusters favoris ? Si, en tant que fans de cinoche et de culture d’Extrême Orient, nous avons a priori de quoi jubiler, la bonne nouvelle cache en réalité des enjeux économiques pervers, qui pourraient changer à jamais le visage de la production occidentale.

Une intégrale de ses films et un concert : John Carpenter était à l’honneur dans la 16e édition du Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel, qui s’est tenue du 1er au 9 juillet sous un soleil torride. Big John n’étant resté qu’à peine 48 heures sur les lieux, nous avons donc eu largement le temps de nous intéresser au reste de la sélection en nous concentrant sur des titres en compétition qui, pour la plupart, valaient sacrément le détour !

Pour sa première réalisation, le scénariste Alex Garland aborde le sujet de l’intelligence artificielle par le biais de l’intime, du trouble et du non-dit, dans un fascinant jeu du chat et de la souris à la croisée de Roman Polanski et Mamoru Oshii.

Quand un Predator décapite dans la jungle urbaine, que le fils de Dieu est crucifié dans un hommage au bis gore italien, que des nains se foutent sur la gueule et qu’un cinéaste ressort ses synthés d’une vieille armoire, Mélomad est là pour tendre l’oreille et faire son rapport.