Recherche de "Jim Wynorski"

Underwater de William Eubank renoue avec un grand motif du film de monstre : l’exploration des grands fonds marins. Avec toujours ce même message : ne descendez pas trop profond, vous risqueriez de réveiller des choses visqueuses (et souvent lubriques).

L’un de ces comédiens dont on reconnaît immédiatement le visage sans forcément réussir à mettre un nom dessus. S’il n’avait pas rencontré Howard Hawks sur une comédie où il n’aurait dû que passer, Kenneth Tobey n’aurait jamais tenu le premier rôle de l’une des oeuvres fondatrices de la science-fiction américaine…

Bien connu de nos lecteurs béophiles, La-La Land Records vient de fêter ses 16 ans d’existence et s’est imposé comme le label de musique de film le plus Mad de la planète. L’occasion pour Matt Verboys, qui le dirige en compagnie de M.V. Gerhard, de nous raconter cette aventure placée sous le signe du cinéma de genre.

Les vampires et les loups-garous ne sont pas les seuls monstres capables de séduire des humains. La preuve avec ce généreux bestiaire qui prouve que l’amour entre mortels et créatures de rêve/cauchemar prend les formes les plus transgressives et n’est pas toujours platonique…

De tous les interprètes des grandes figures de l’horreur des années 70/80, il est l’un des rares à apparaître à visage découvert : Angus Scrimm, un géant d’1 mètre 93 qui inspire au réalisateur Don Coscarelli le personnage du Tall Man. Entre 1979 et 2015, le comédien revêt le strict costume noir du croquemitaine à cinq reprises. Cinq prestations qui éludent les autres aspects d’un parcours pour le moins contrasté…

S’il n’a pas été le plus prolixe des réalisateurs américains, Paul Bartel demeure l’une des personnalités les plus attachantes et singulières de son temps. Plus attiré par la satire sociale que par le genre pur et dur, il trouve cependant en ce dernier un terreau fertile à la culture de sa pensée hautement contestataire.

La sortie de We Are Still Here (le DVD Mad du mois dernier) nous a donné l’idée de bavarder avec celle dont les inoubliables yeux bleus ont aussi bien illuminé divers soap operas (la dame a plus de cent épisodes d’Amour, gloire et beauté au compteur !) que les premières oeuvres de Stuart Gordon, comme Re-Animator et From beyond : aux portes de l’au-delà.

Le premier grand roman du père de « la nouvelle chair », un manga diaboliquement frais, et des fanzines « high quality » : le Sang d’encre de mars est court sur pattes mais puissant comme un chien de combat !

Outre du néo-slasher, Thierry Lhermitte, des castors zombies et des héros costumés, le mois de mai porte haut les sanglantes couleurs de l’aventure avec l’édition tant attendue de L’OMBRE ET LA PROIE dans sa version intégrale.