11 / 12 / 2015
Trois films en 25 ans, autant de chocs esthétiques et émotionnels. C’est peu dire que l’occasion de s’entretenir avec Philip Ridley est trop rare pour ne pas être saisie au vol. Présent au PIFFF à l’occasion d’une projection de L’ENFANT MIROIR, le cinéaste anglais revient sur sa carrière avec une bonne humeur teintée d’une belle et triste lucidité.
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