07 / 11 / 2015
Le plus singulier des films fantastiques des années 60 a failli disparaître à tout jamais. Son créateur, Leslie Stevens, n’imaginait pas à quel point l’échec pouvait être douloureux. Si son oeuvre met en scène un énième affrontement entre le Bien et le Mal, ce n’est que pour mieux toucher à l’universalité. Une erreur de calcul flagrante, surtout quand on sait que cette bande hors normes revendique l’influence d’Ingmar Bergman et déroule des dialogues déclamés en Espéranto.
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