08 / 01 / 2021
Pour célébrer cette nouvelle année, et dire adieu à la saison cinématographique
la plus frustrante depuis la création de ce magazine, nous
avons décidé de nous payer une petite cure d’épouvante, et de nous
intéresser à une sous-catégorie particulièrement malade du genre.
Élevée au rang d’art par David Cronenberg, la body horror a remué
quelques estomacs et infecté quelques esprits en près d’un demi-siècle
d’existence. Mais elle s’est aussi aliéné la critique et le grand public,
et a bien trop souvent été considérée comme un caprice underground.
Retour sur un mouvement artistique hardcore, où les abominations
sont avant tout intimes…
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