Recherche de "David Lean"

Un hors-série entier ne suffirait pas à traiter la totalité des films consacrés aux sectes, dont The Wicker Man est l’un des plus illustres représentants. Nous avons donc choisi d’éviter les classiques du genre ou les titres trop récents pour aller déterrer quelques pépites méconnues ou rarement évoquées. Bienvenue chez les dingues.

Le réalisateur de The Bride with White Hair et The Saviour (édités ces jours-ci en Blu-ray chez Spectrum Films : voir encadré) nous raconte son étonnante destinée de cinéaste franc-tireur, qui l’a amené à se frotter à différents systèmes de production, de Hong Kong à la Chine continentale en passant par Hollywood.

Le roi du high concept s’en est allé, laissant derrière lui une filmographie d’une indépendance et d’une créativité exceptionnelles. Révélé par la série Les Envahisseurs, élevé au statut d’auteur culte avec des films comme Le Monstre est vivant, Maniac Cop, Épouvante sur New York, The Stuff et L’Ambulance, Larry Cohen s’est essayé à la blaxploitation, au thriller, à l’action pure, à l’horreur ou au film de monstre avec une implication indéfectible.

Le réalisateur du sublime Ne vous retournez pas nous a quittés le 28 novembre dernier alors qu’il venait de fêter ses 90 ans. L’occasion pour nous de revenir sur la carrière singulière et captivante d’un styliste amoureux des belles femmes et de la belle image.

Après nous avoir offert une interview carrière épique dans le numéro 320 de Mad Movies, et en attendant son retour dans le sommaire de notre Classic spécial Predator, Stephen Hopkins se prête au jeu du Give Me Five, qui passe sur deux pages à l’occasion de la nouvelle formule !

Virtuose de la caméra, Stephen Hopkins a marqué de son empreinte le cinéma hollywoodien des années 1990, avant de connaître une seconde carrière très prolifique à la télévision. Des tournages guérilla de Freddy 5 – l’enfant du cauchemar et Predator 2 aux explosions démesurées de Blown Away, en passant par les development hell de L’Ombre et la proie et Perdus dans l’espace, Hopkins a accepté de se livrer avec une sincérité désarmante.

À l’occasion de la sortie de A Ghost Story, penchons-nous sur quelques romances qui n’hésitent pas à franchir les barrières de la mort pour donner vie à leurs histoires. Avec une préférence pour des titres rarement cités qui méritaient d’être exhumés afin de ne pas sombrer dans l’oubli.

Pour bien finir l’année, la rubrique Give Me Five tend son micro à une légende vivante : Paul Verhoeven. Le réalisateur de La Chair et le sang, RoboCop et Starship Troopers a donc sélectionné pour vous cinq films qui l’ont marqué, et continuent de l’influencer.

Dix ans après La Nuit nous appartient, James Gray s’attaque à un genre oublié en s’embarquant dans un voyage au bout de l’enfer vert. Au passage, il en profite pour signer le plus beau film de sa carrière.

Avec Alien : Covenant et Blade Runner 2049, Ridley Scott revient pour de bon à ses heures les plus glorieuses et semble bien parti pour relancer sa carrière avec superbe. 2017 sera donc l’année du grand retour d’un réalisateur/producteur qui est peu à peu devenu une entreprise à lui tout seul.

On aurait adoré vous en parler avant, mais le distributeur n'ayant pas jugé utile de nous le montrer, c'est en salle que nous sommes allés voir le nouveau Alex Proyas, qui signe avec Gods of Egypt un peplum de fantasy bis et old school comme on n'osait plus en rêver.

À mi-chemin entre le polar et le thriller d’épouvante, un film dont le tournage fut au moins aussi agité que les événements imaginaires qu’il met en images…

Outre du néo-slasher, Thierry Lhermitte, des castors zombies et des héros costumés, le mois de mai porte haut les sanglantes couleurs de l’aventure avec l’édition tant attendue de L’OMBRE ET LA PROIE dans sa version intégrale.

Pour ce numéro « Bad Robots », le scénariste de ROBOCOP Ed Neumeier était le candidat idéal pour la rubrique Give Me Five. Si elle n’est pas entièrement ancrée dans le genre fantastique, sa sélection de films fétiches éclaire son oeuvre sous un jour nouveau.

Sans Mad Max, le post-apo n’aurait pas connu une histoire aussi riche. Ce qui l’a précédé, ce qu’il a provoqué, voilà ce sur quoi nous avons décidé de nous pencher en étant le plus exhaustif possible. Rechargez le fusil à pompe, faites chauffer le moteur, c’est parti !

De tous les compositeurs ayant émergé ces dernières années au sein d’Hollywood, Brian Tyler s’impose comme l’un des plus prometteurs avec un style mixant astucieusement orchestral à l’ancienne et sonorités ancrées dans la pop actuelle. Historique d’un parcours fulgurant.