Recherche de "Critters"

Si vous lisez régulièrement Mad Movies, vous savez à quel point nous sommes attachés au petit monde des maquillages spéciaux, vivier de talents hors-norme et de personnalités attachantes. Dans cette industrie sacrément malmenée depuis l’avènement des images de synthèse, le nom de John Carl Buechler a quelque chose de spécial, puisqu’il symbolise presque à lui seul l’amour du cinéma bis et du bricolage à petit budget. Buechler nous a quittés prématurément après 41 ans de carrière ; un hommage s’imposait.

La disparition de la rubrique Y a un truc ! à l’occasion de la nouvelle formule vous a peut-être interpellés. En réalité, nous avons préféré nous débarrasser d’un rendez-vous un peu étriqué pour pouvoir scruter plus en détail certains métiers essentiels du 7e Art. On lance la machine avec ce copieux dossier, où s’entrecroisent les témoignages de quelques production designers de haut rang, et de réalisateurs désireux de raconter leurs histoires avant tout par l’image…

Connu pour ses nombreuses adaptations de Stephen King, Mick Garris a passé la majeure partie de sa carrière à fédérer les auteurs du cinéma fantastique, depuis ses débuts en tant que journaliste jusqu’aux séries Masters of Horror et Fear Itself. Véritablement passionné par le genre, cet artisan a également signé quelques péloches cultes, à commencer par Critters 2 en 1988. Alors qu’il s’apprête à signer un épisode de la série Once Upon a Time, Garris a accepté de revenir en détail sur son parcours.

Né sous la plume de Clive Barker et « réinventé » par Bernard Rose, le boogeyman Candyman commence fort et finit mal. Grandeur et décadence express d’un croquemitaine tragique devenu, en dépit de sa déchéance cinématographique, une icône du cinéma fantastique.

Nul besoin de discours commémoratifs, vous connaissez (trop) bien la maison. Pour les autres, faites comme chez vous, la célébration du 300e numéro est ouverte à tous. Au programme, un double impact comme suit : 1/ un dossier gorgé d’amour, de latex et de subjectivité polémique consacré à nos créatures préférées du cinéma fantastique. 2/ un hors-série spécial anniversaire à paraître fin octobre et dans lequel vous retrouverez notre sélection des « 300 films à voir avant de mourir ». C’est bon, vous avez noirci vos agendas ? Parfait, the Mad Monster Show must go on !

Elle est un peu la mère archétypale du cinéma fantastique américain, puisqu’elle a eu dans ses jupes les marmots de Cujo, E.T., l’extra-terrestre ou Critters. Rencontre avec une actrice toujours pétillante qui présentait au festival montréalais Fantasia le récent Red Christmas, dont le réalisateur Craig Anderson a mis à l’occasion son grain de sel dans la discussion.

Créateurs des séries FEAR ITSELF et MASTERS OF HORROR et adaptateur officiel de Stephen King pour le petit écran (et parfois pour le grand, comme avec LA NUIT DÉCHIRÉE), Mick Garris a également réalisé l’excellent CRITTERS 2. Un candidat idéal, donc, pour la rubrique Give Me Five.

Avec NOCT, Vincent Toujas tente l’aventure risquée du film de monstre. Risquée culturellement, puisque notre cinéma fuit le genre comme la peste, et risquée techniquement, tant il n’est pas aisé, avec des petits moyens et peu d’expérience, de réussir un monster movie.