Recherche de "1922"

Certainement pas un grand réalisateur mais, dans l’Histoire du cinéma de genre, il finit par compter à force de creuser avec une volonté farouche les mêmes sillons, en dépit de récits et de moyens anémiques. Bloqué dans les années 1950, Bert I. Gordon est cet artisan bientôt centenaire.

Si, comme tout producteur, Harvey Bernhard avait toujours un oeil toujours sur les comptes, il n’en était pas moins un créateur, pas du genre à attendre qu’on vienne lui soumettre des idées. Avec La Malédiction en 1976, guidé par l’Apocalypse de Jean du Nouveau Testament, il réinvente le thème de l’enfant maléfique et hisse Satan au rang de champion du box-office…

S’il n’a pas forcément l’envergure d’un Christopher Lee, d’un Boris Karloff ou d’un Vincent Price, Reggie Nalder n’en reste pas moins une authentique horror star, dont les rôles vont du tortionnaire sadique au vampire à la Nosferatu, points d’orgue d’une carrière qui, dans sa dernière ligne droite, connaît un étrange incident…

Un grand nom de la science-fiction britannique. Écrivain et scénariste, Nigel Kneale imagine avec Bernard Quatermass un personnage discrètement héroïque, ultime rempart de la Terre contre diverses menaces extraterrestres, d’abord télévisuelles, puis cinématographiques sous l’étendard Hammer Films.

Peu connu dans nos régions, injustement rangé dans la case mélodrame ou, plus justement, dans celle du thriller psychologique, LA MAISON ROUGE s’est très vite retrouvé condamné à perpétuité pour cause de classicisme. Il aura donc fallu attendre qu’un certain Martin Scorsese mentionne ce joyau noir de l’après-guerre pour voir enfin sa peine levée. LA MAISON ROUGE, où quand le réalisateur Delmer Daves, réputé pour ses westerns progressistes, façonne un conte gothique marécageux, un presque film d’horreur aux envoûtantes saveurs vénéneuses.

En attendant son interview carrière dans le prochain numéro, voici les cinq (enfin, plus !) films de chevet du monteur (TERMINATOR 2, STARSHIP TROOPERS)/réalisateur (FLIC OU ZOMBIE, PUNISHER) Mark Goldblatt.

Entre les deux Christopher (Lee et Lemaire), c’est une grande histoire d’amour cinéphagique. Sauf que Lee, lui, n’en a jamais rien su… Déclaration/hommage/coming out, ici, maintenant.

Occupé par les effets visuels de JURASSIC WORLD et la réalisation de MAD GOD : PART 2, Phil Tippett a trouvé quelques minutes pour participer à la rubrique Give Me Five, dans laquelle un artiste commente chaque mois cinq films qui l’ont marqué à vie.