Intrada Records, le meilleur label de musique de film de la planète, est à l’honneur ce mois-ci et nous embarque de l’espace à la cinquième dimension en passant par le monde merveilleux et terrifiant de Ray Harryhausen.
Des dieux égyptiens, une forêt hantée, une poupée dans un manoir, des zombies chez Jane Austen, des vampires sexy, un Saint-Bernard enragé, un pic à glace, un voyage sur Mars et un autre à bord de l’Enterprise : MéloMad vous offre à boire et à manger !
Ou comment tenter de rattraper l’avalanche de sorties MéloMad de la fin de l’année 2015, dominée par la fabuleuse édition d’une musique rejetée par Disney !
On pensait ne vous parler que de STAR WARS : LE RÉVEIL DE LA FORCE pour saluer le retour en fanfare de John Williams, mais cela aurait été compter sans la présence d’un autre poids lourd dans l’actu B.O. du mois, il maestro Ennio Morricone !
Des requins, des voyages dans le temps, des sorciers belliqueux et des fantômes dans le bayou, tel est le programme du MéloMad de décembre, en attendant que la Force se réveille !
Freddy Krueger est à l’honneur ce mois-ci avec un coffret qui, s’il reste fort attractif, souffre également de sérieux handicaps. Heureusement, deux belles oeuvres symphoniques sont là pour redresser la barre !
Toujours aussi old school, MéloMad s’intéresse ce mois-ci aux aliens communistes, à un excellent slasher des années 80, à l’une des meilleures séries 90’s et à un voyage dans le temps vers l’Écosse jacobite du XVIIIe siècle. Comme quoi on peut écrire « bite » dans une rubrique sur la musique de film.
Si Jerry Goldsmith est à l’honneur ce mois-ci, il est accompagné de robots très humains et d’un excellent score pour un blockbuster estival qui n’en méritait pas tant.
Un jazzman argentin, le retour d’une valse lente, une tempête dans le désert, une télé hantée, une cité engloutie, un monde extraordinaire et un juge casqué : bienvenue dans le MéloMad de juin !
Outre du néo-slasher, Thierry Lhermitte, des castors zombies et des héros costumés, le mois de mai porte haut les sanglantes couleurs de l’aventure avec l’édition tant attendue de L’OMBRE ET LA PROIE dans sa version intégrale.
Du rock au Moyen-Âge, un Goldsmith mineur presque devenu majeur, de la tôle froissée,un magicien ventriloque et une princesse qui perd ses pompes avant de perdre sa culotte,voilà le programme de ce premier Mélomad de printemps !
Où l’on cause de gangs, d’ordinateurs, de piranhas, de singes, de requins, de space opera kitsch et du plus hitchcockien des De Palma, mais pas de l’Oscar d’Alexandre Desplat.
Il est beaucoup question de voler dans les airs et dans l’espace ce mois-ci, avec une paire de classiques revisités et les contes de la belle Shéhérazade. Mais il est aussi question de machines dont le son fait trembler les murs !
Quand un Predator décapite dans la jungle urbaine, que le fils de Dieu est crucifié dans un hommage au bis gore italien, que des nains se foutent sur la gueule et qu’un cinéaste ressort ses synthés d’une vieille armoire, Mélomad est là pour tendre l’oreille et faire son rapport.
Si la période hivernale s’avère assez paisible en termes de rééditions, une fois n’est pas coutume, elle nous offre trois nouveautés à tomber par terre, en attendant LE HOBBIT : LA BATAILLE DES CINQ ARMEES et INTO THE WOODS : PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS, que nous rattraperons le mois prochain.
Ce mois-ci, il y a à boire et à manger dans MéloMad, mais aussi de quoi taquiner la gueuse avec la réédition inespérée de la musique des ONZE MILLE VERGES. On a bien dit « verges », pas « vierges », bande de pervers !
La saison débute gentiment au rayon béophile. Heureusement, les teen movies apportent quelques rayons de soleil, le vétéran Howard Shore nous offre un triplé haut de gamme et Intrada exhume un Bernstein atomique et 100 % inédit !
Les oreilles des béophiles n’ont profité d’aucun répit pendant ces vacances riches en nouveautés et rééditions. Heureusement, Mélomad a tout écouté pour vous.
De tous les compositeurs ayant émergé ces dernières années au sein d’Hollywood, Brian Tyler s’impose comme l’un des plus prometteurs avec un style mixant astucieusement orchestral à l’ancienne et sonorités ancrées dans la pop actuelle. Historique d’un parcours fulgurant.