En marge de la longue interview carrière de ce numéro,
Jack Sholder, le réalisateur de La Revanche de Freddy
et Hidden, a accepté de se prêter au jeu du Give Me Five. L’occasion d’en apprendre encore un peu plus
sur son riche parcours.
Une fois n’est pas coutume, nous avons décidé de dédier notre rubrique Give Me Five à un production designer. Connu pour son travail exceptionnel sur RoboCop, Total Recall ou encore Master and Commander : de l’autre côté du monde, William Sandell nous propose une liste 50 % Mad, 50 % cool.
Proche collaborateur de Clive Barker (il a écrit Hellraiser II, III et Bloodline), Peter Atkins a également marqué la série B horrifique avec les Wishmaster. S’il adore le Technicolor et respecte le cinéma fantastique contemporain, il s’est autorisé un Give Me Five intégralement en noir et blanc…
En marge de l’interview carrière de ce numéro, nous avons proposé à Ryûhei Kitamura de se prêter au jeu du Give Me Five. Comme on pouvait l’espérer, sa sélection est presque un Reader’s Digest du cinéma fantastique et d’horreur !
Issu de l’animation, Corin Hardy s’est fait connaître avec Le Santuaire avant de tenter l’aventure hollywoodienne avec La Nonne. Le cinéaste anglais a ensuite été appelé par Gareth Evans sur Gangs of London, série d’action ultraviolente dont nous vous parlerons plus en détail dans un prochain numéro…
Le réalisateur de Renaissance et de The Room (cf. Mad Movies 338) a accepté de se prêter au jeu du Give Me Five, et partage avec nous sa passion pour la folie vue à travers les objectifs de Kubrick, Fuller, Forman, Welles et Lang.
Présidente du Jury de l’édition 2020 du Festival de Gérardmer, Asia Argento a pris le temps, entre deux séances, de nous livrer ses expériences cinématographiques les plus mémorables, partagées entre les démons de l’enfer et l’horreur de la vie réelle.
Grand nom des effets visuels, Bruce Nicholson a travaillé sur La Guerre des étoiles, Poltergeist, Indiana Jones et le temple maudit, Starman, L’Antre de la folie, la trilogie Matrix ou encore Speed Racer. Ce CV très Mad justifiait bien qu’on le soumette au jeu du Give Me Five.
Memory : les origines d’Alien, le septième documentaire d’Alexandre O. Philippe, est diffusé ces jours-ci sur TCM, tandis que son dernier bébé Leap of Faith: William Friedkin on The Exorcist vient d’être projeté au PIFFF. Ce cinéphile dans le feu de l’actualité était donc le candidat idéal pour un Give Me Five !
Producteur de Re-Animator et Dagon, réalisateur de La Fiancée de Re-Animator, Society, Le Retour des morts-vivants 3 et Le Dentiste, Brian Yuzna est une légende vivante de la série B. On pouvait difficilement trouver meilleur candidat pour la rubrique Give Me Five !
Le réalisateur de May et The Woman était présent au Festival de Strasbourg pour accompagner son dernier long-métrage, Kindred Spirits. Nous en avons profité pour le soumettre au jeu du Give Me Five…
Le réalisateur du magnifique J’ai perdu mon corps a accepté de se plier au petit jeu du Give Me Five, avec une sélection placée sous le signe de la nostalgie.
Le réalisateur norvégien de Troll Hunter, The Jane Doe Identity et Scary Stories a accepté de se prêter au jeu du Give Me Five. Si les quatre premiers titres devraient faire l’unanimité, le dernier risque de rouvrir des débats vieux de près de 20 ans…
Nous avons profité de la sortie d’Ils reviennent… pour soumettre la réalisatrice Issa López au petit jeu du Give Me Five. « Bien sûr je pourrais vous parler de Blade Runner » lance-t-elle immédiatement, « mais tout le monde doit vous donner cette réponse. Essayons de trouver autre chose… »
En avril dernier, Jeremy Gardner (le génial The Battery) dévoilait son tout nouveau film, Something Else, au festival
de Tribeca à New York. Nous en avons profité pour le soumettre au petit jeu du Give Me Five, et passé un premier titre attendu, sa sélection est pour le moins surprenante…
Ayant commencé comme monteur d’effets spéciaux chez Roger Corman (Les Mercenaires de l’espace) et John Carpenter (New York 1997), notre invité de la rubrique Give Me Five s’est fait un nom dans la série B en réalisant les très sympathiques Hellraiser 2 : les écorchés et Ticks.
Une fois n’est pas coutume, la rubrique Give Me Five déroule le tapis rouge à un producteur… de musique de film ! Connu pour avoir dirigé le label Varèse Sarabande pendant plus de 35 ans, Robert Townson revient sur cinq films (et cinq bandes originales) qui l’ont marqué à vie.
Se prêtant déjà au jeu de l’interview carrière dans ce numéro, Boaz Yakin (The Punisher, Safe) a également accepté de participer au Give Me Five. Une fois n’est pas coutume, les titres qu’il a sélectionnés sont inédits dans le cadre de cette rubrique.
Jay Oliva a produit un travail phénoménal pour DC, que ce soit sur les story-boards de Man of Steel, Batman v Superman et la série Flash, ou en tant que réalisateur sur les animés Justice League Dark et Batman (Bad Blood et The Dark Knight Returns). Voici son implacable top 5.
Documentariste de talent et réalisateur du très bon Crave, Charles de Lauzirika a signé les making of d’Alien, Blade Runner ou encore Spider-Man 2. Ce cinéphile averti a eu beaucoup de mal à choisir cinq films pour cette rubrique, tant sa passion est débordante.
À l’occasion de la diffusion sur Canal+ et MyCanal de Cold Skin, dernier film du Français Xavier Gens, nous avons soumis ce dernier au petit jeu du Give Me Five.
Révélé par La Nuit des sangsues et The Monster Squad, Fred Dekker a disparu des radars après s’être rendu coupable de RoboCop 3. Ressuscité par son pote Shane Black, avec qui il a cosigné le script de The Predator, Dekker a accepté de commenter cinq films qui l’ont profondément influencé.
Après nous avoir offert une interview carrière épique dans le numéro 320 de Mad Movies, et en attendant son retour dans le sommaire de notre Classic spécial Predator, Stephen Hopkins se prête au jeu du Give Me Five, qui passe sur deux pages à l’occasion de la nouvelle formule !
Auteur du classique du slasher Meurtres à la St-Valentin, l’ami George Mihalka est né en Hongrie, avant que ses parents ne fuient le régime communiste en partant au Canada quand il était enfant. Et cela explique sans doute des choix très orientés vers l’Europe Centrale.