Un Danois à L.A.
Faute d'avoir pu s’entendre avec Sony qui lui proposait la mise en scène de The Bringing, Nicolas Winding Refn a décidé de retourner chez ses producteurs d’Only God Forgives (Gaumont, Wild Bunch et Space Rocket) pour les besoins de The Neon Demon dont il a cosigné le script. « Un matin, je me suis réveillé et j’ai réalisé que j’étais entouré et dominé par les femmes » explique le cinéaste danois. « J’avais soudainement terriblement besoin de faire un film d’horreur traitant de la beauté vicieuse. Après avoir fait Drive et être tombé amoureux de l'aspect électrique de Los Angeles, je savais que je devais y retourner pour raconter l’histoire de The Neon Demon. » Le tournage de cette bande au visuel promotionnel très 'Bret Easton Ellis' devrait commencer l’année prochaine.
Bunny ba-balle !
le 03/11/2014 à 23:37Promesse d'un film De Palmesque ?...
Musashi
le 04/11/2014 à 01:16Et donc, L'Incal ?
Zak Blayde
le 04/11/2014 à 15:43Espérons que ce ne soit pas un étron viriliste. C'est vrai que la violence crûe est omniprésente dans le cinéma de Refn, qu'en pensez-vous, a t-il un regard critique et une réflexion derrière cette violence graphique ou est-ce juste du voyeurisme voire du virilisme ?
PressePapier
le 04/11/2014 à 15:43Excellente question Musashi, on veut l'incal, pas encore un film avec un héro migraineux et muet.
John Belek
le 04/11/2014 à 19:54Il me doit toujours 2h de ma vie pour son dernier film de merde
Old-Nick
le 05/11/2014 à 10:12"Virilisme" ?! Est-ce qu'on pourrait regarder un film sans se poser les même questions faussement intellectuelles dont les cultureux "téléramiens" nous abreuvent sur l'art contemporain ?!