Un Blu-ray pour Daniel Robitaille

Candyman 2

Le décevant Candyman 2 (Candyman : Farewell to the Flesh en V.O.) est désormais disponible en Blu-ray aux États-Unis chez Shout! Factory qui lui a préparé un disque modeste mais néanmoins soigné. Outre un transfert 1080p dans la bonne moyenne (image propre, son puissant), cette suite emballée par Bill Condon (Twilight, chapitre IV : Révélation - 1ère partie) propose une série de suppléments plutôt informatifs tels qu’un commentaire audio du réalisateur et deux entretiens exclusifs où les acteurs Tony Todd (interprète du héros éponyme) et Veronica Cartwright (Alien, le huitième passager) reviennent avec franchise sur leurs carrières respectives. Comme toujours chez l’éditeur, le contenu reste destiné aux Anglophones puisqu’aucun doublage ni sous-titrage français n’est inclus sur ce Zone A vendu au prix de 18$.

Commentaire(s) (4)
captain
le 27/12/2014 à 14:22

ben je le trouvais plutot pas mal,

Le Toursiveu
le 27/12/2014 à 16:54

Candyman 2 : ma seule expérience au cinéma où le projectionniste a inversé 2 bobines... Pas étonnant que le film n'avait absolument aucun sens!... L'ayant revu récemmentn je trouve son décor de la Nouvelle Orléans fascinant mais le film reste une grosse déception par rapport au chef d'oeuvre de Bernard Rose. (Il reste cependant à mille lieues au-dessus du navet Candyman 3, avec Donne D'Erico en vedette...)

La carrière de Bill Condon est assez bizarre : il est capable de réaliser un authentique chef d'oeuvre, Gods and Monsters, (Oscar du meilleur scénario à l'appui), ainsi qu'une poignée de bons films (Sister, Sister, Kinsey, Dreamgirls, The Fifth Esstate) mais n'hésite pas à se prostituer en réalisant 2 épisodes de la pire saga pour jeunes adultes au cinéma...

J'attends quand même avec impatience sa relecture de Sherlock Holmes (Mr. Holmes) avec Ian McKellen.

Musashi
le 28/12/2014 à 10:12

Candyman 2 était un milliard de fois moins décevant que Nekromantik et sa suite... ;-)

JBH
le 29/12/2014 à 09:26

Candyman 2 n'est pas honteux selon moi (visuellement, c'est même plutôt réussi), mais il faut avouer que le film de Condon a du mal à égaler son modèle en matière de suspense et de psychologie. Et puis la transparente Kelly Rowan campe une piètre héroïne à côté de Virginia Madsen. Ah, Virginia...

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