This Time It's War !

Le Hobbit : la bataille des cinq armées

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Aux dernières nouvelles, Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées devrait durer 2h20 (en attendant une inévitable version longue). Et pour cause : le voyage est terminé, place à la guerre, comme en témoigne ce nouveau trailer chargé en émotion et en affrontements furieusement épiques, même si on pourra légitimement hausser le sourcil devant une telle démesure sachant qu'elle implique une tonne de CGI. Alors que Smaug s'abat sur Laketown et que Bard l'Archer (Luke Evans, Dracula Untold) se dresse face à lui, Thorin (Richard Armitage, Black Storm), contaminé par le mal du dragon, sacrifie honneur et amitié pour s'emparer du précieux joyau d'Arkenstone et reconquérir le royaume d'Erebor et ses trésors, qu'il est loin d'être le seul à convoiter. Bien que Bilbo (Martin Freeman) tente de lui faire entendre raison, Thorin refuse de faire reconstruire la cité lacustre de Laketown, même lorsqu'il est assiégé par les Elfes et les Hommes, rejoints par des Nains menés par son cousin. Ainsi que le craignait Gandalf (Ian McKellen), c'est le moment que choisit Sauron pour lancer ses troupes à l'assaut, une horde d'Orcs face à laquelle toutes les forces en présence vont devoir s'allier pour tenter de remporter la Bataille des Cinq Armées. "Nous avons établi une règle selon laquelle nous ne dépasserons pas deux ou trois plans successifs de personnages anonymes avant de revenir sur les personnages principaux. Sinon, le public décroche", a précisé Peter Jackson concernant la bataille finale, qui affiche une durée de 45 minutes. Avec cet ultime opus, le cinéaste met un terme à la trilogie dans le fracas des armes, aventure symboliquement conclue lors du générique final par The Last Goodbye, une chanson écrite et interprétée par Billy Boyd faisant écho à The Stewart of Gondor, celle qu'il entonnait dans Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi et qui, juste retour des choses, accompagnait la première bande-annonce de La Bataille des Cinq Armées. Qu'on ait apprécié ou non Le Hobbit : La Désolation de Smaug, il faut bien admettre que ces nouvelles images promettent un spectacle assez dantesque. Sortie française : le 10 décembre.

Commentaire(s) (11)
Musashi
le 07/11/2014 à 11:59

Mouais bof... C'est bien que ça s'arrête...

donniedarkonic
le 07/11/2014 à 12:42

Juste pour le plaisir de voir Christopher Lee quoi

lonekin
le 07/11/2014 à 13:20

Un ton plus solennel, une nouvelle musique originale comme à la grande époque des Deux Tours, et en même temps un trailer qui ne montre rien de trop spécifique (rien sur le dragon, presque pas de Barde, juste l'enjeu autour de la bataille). Je trouve que ça part dans la bonne direction.

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le 07/11/2014 à 16:36

Encore trois heures de séquences en CGI dantesques entrecoupées de scènes dramatiques ronflantes.
C'est mauvais pour l'estomac, ces mouvements de yoyo...

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le 07/11/2014 à 21:34

ça va charcler.

Armel
le 08/11/2014 à 11:00

j'aurais préféré qu'il ne dépasse pas deux ou trois plans successifs sur les personnages principaux avant de revenir sur des personnages anonymes...

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le 08/11/2014 à 16:53

Si c'est comme la bataille vu sur une page dans le roman du Hobbit, l'orc Bolg et ses gardes gobelins devraient foutre une branlée à Thorin, Fili et Kili... et peut-être même tuer Tauriel.

Wait and see

Mara
le 09/11/2014 à 02:18

Mais c'est tellement mieux de voir un Under he Skin, profond et intimiste.
Retournez donc à vos consoles et autres Counter Strike XXXX, ce chant du cygne vous dépasse, fools. Magnifier ainsi le Hobbit n'est cetes pas à la portée du tout venant, pourtant nombre de Nolan s'y essaient.

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le 09/11/2014 à 05:02

Oh, Mara, Under the skin est un tout autre registre.

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le 10/11/2014 à 09:12

Tout les chants du cygne me dépassent. Game Over.

Libemato
le 11/11/2014 à 08:24

Le Hobbit ça ressemble au Seigneur des anneaux, c'est froid comme sorti d'un ordinateur, sans âme. Ça se regarde comme un de ces livres de film qu'on offre à Noël, plein de belles photos, et qu'on oublie aussitôt. Cette froideur de Peter Jackson j'aime pourtant, dans King Kong par exemple, mais là, ça annéanti tout ressenti. Heureusement qu'il y a un peu dhumour. Et encore. Et pourquoi l'épisode trois, aussi épique qu'il semnle le proposer, serait-il différent. Vivement que ça se termine, Tolkien, qu'on revienne aux bouquins, et que ce génial réalisateur de Bad Taste et Braindead s'attaque enfin à des films en un seul exemplaire, et originaux si possibles.

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