Seul contre tous : Stephane Moïssakis (1/2)
The Descent
A chaque repas de famille, c'est pareil. Dès qu'un invité apprend qu'il travaille à Mad Movies, Stephane Moïssakis se voit dans l'obligation de parler durant des heures du Descent de Neil Marshall ! Et il en a marre Stephane, parce qu'il n'aime pas The Descent...
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Commentaire(s)
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madgabriel
le 26/09/2015 à 04:48Tres bonne analyse auquelle je n'adhère pas. C4est sur qu'il y a apparement une surdose de symbolisme mais il n'est pas gratuit. Je me souviens qu'en sortant ma copine de l'époque et moi même avions discuté pendant des heures. Notamment de l'hypnose qui nimbe le film en permanence depuis l’auto hypnose de l’héroïne qui refuse de voir l'infidélité de son mari (et qu'elle a pourtant vu au moment de la scene du cayak) jusqu'au final ou elle croit enfin sortir de son hypnose en sortant de la grotte mais est en fait au fond de la grotte en train de replonger plus profondément. Base de l'hypnose eriksonienne dont Marshal est un partisan.
POur moi il reste un des films d'horreur les plus lyriques des vingt dernieres années. Curieusement il 'mévoque aussi le cercle infernal avec Mia Farrow. La même teinte d'auto justification jusqua la dérive final.