Rien à cirer

La nuit au musée : Le Secret des Pharaons

Avec ses tornades d'images de synthèse et ses gags scatologiques intarissables, La Nuit au musée : Le Secret des Pharaons vient clore une trilogie très artificielle. Vu le niveau de la chose, on en viendrait presque à regretter les maladresses et l'humilité du premier épisode...
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Alors que le climax touche à sa fin, la narration de La nuit au musée : Le Secret des Pharaons s'arrête soudainement dans un théâtre londonien où Hugh Jackman, dans son propre rôle, est confronté à une statue en cire de Lancelot persuadée d'être réelle. Plutôt que de soutenir une quête identitaire à la Toy Story, le caméo se nourrit de lui-même, soulignant plus que jamais la vacuité hallucinante qui plombe l'ensemble du projet. Venu soutenir son vieux copain, Jackman soulève par sa seule présence une question brûlante : comment le réalisateur inventif et ambitieux du très émouvant Real Steel a-t-il pu s'enfermer dans une routine aussi paresseuse ? Dire que La nuit au musée : Le Secret des Pharaons crève le pla [...]

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Commentaire(s) (2)
Le Toursiveu
le 17/02/2015 à 16:41

Pas que je sois un fan de cette franchise ou que j'aie envie de contredire Alexandre Poncet, loin de là, mais selon moi, ce troisième épisode vaut pourtant bien mieux que les deux premiers dont je trouve qu'il a appris des erreurs (moins de guests, des gags drôles, des SFX plus travaillés...) Plus émouvant (peut-être la présence de Robin Williams y est-elle pour quelque chose), scénario simplissime allant à l'essentiel... Le film vaut surtout par la prestation très "montypythonesque" de Dan Stevens en Lancelot, un arrogant chevalier qui, comme Buzz Litghyear, ignore qu'il n'est pas réel... Cette troisième Nuit au Musée serait presque une bonne surprise si tout ça n'était aussi prévisible. Bien entendu, ça ne vole pas très haut (et Ben Kingsley en est réduit à jouer les figurants) mais je ne me rappelle pas avoir souri une seule fois devant les deux premiers épisodes...

John Belek
le 17/02/2015 à 20:07

c'était écrit dans la bible du Vatican que c'est de la merde

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