Rembobinage n°282

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Si vous êtes curieux, masochistes ou du genre complétistes à tendance obsessionnelle, il reste encore quelques films Mad – ou assimilés – à écluser dans les salles, en plus de ceux longuement disséqués une dizaine de pages plus loin (oui, please, ne vous arrêtez pas là…). Ainsi, on ne saurait trop vous déconseiller de raquer pour aller voir l’atroce A Girl Walks Home Alone at Night (sortie le 14 janvier) de Ana Lily Amirpour, un film de vampire indé aux velléités politico-poétiques (comprendre branlette arty calibrée hipsters militants) qui parvient à égaler en termes de posture fake et auteurisante le déjà insupportable Only Lovers Left Alive de Jim Jarmusch. Plus classique, voire tellement académique qu’il en devient puissamment somnifère (deux pigistes sur trois ont ronflé pendant la projo),

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