Mamma's boy

Mother, May I

Un bad trip sur fond de deuil familial

L’usage de stupéfiants est au cœur de Mother, May I, un huis clos horrifique décrit comme un « thriller psychologique à propos de la personne que nous pensons être et celle que nous jouons ». Nommé Emmett, le protagoniste du film s’installe avec sa petite amie dans la maison de sa mère récemment décédée. Pour s’évader un peu, Emmett accepte d’avaler des champignons hallucinogènes, décision qu’il va très vite regretter lorsque sa compagne commence à se prendre pour sa défunte maman. Un changement de personnalité qui ne va plus la quitter durant le reste du séjour… Intéressant tout ça, d'autant que le héros de Mother, May I est interprété par le toujours solide Kyle Gallner (Scream V), comédien que l’on avait découvert en apprenti malfrat à l’époque de The Shield. Oui, ça date…


Commentaire(s) (8)
McCoy
le 19/02/2023 à 12:25

Un thriller Psilo-logique ?

oriounga
le 19/02/2023 à 15:52

Un homme qui prend sa femme pour sa mère après avoir mangé des champignons? C'est le destin de tous les hommes, qui, tous, cherchent leur maman.

Sinon, dans le genre "HORREUR" sous champignons, j'ai ça, qui rappellera des cauchemars aux plus vieux:

https://www.youtube.com/watch?v=taOsuVhXqzY

IOTA
le 19/02/2023 à 19:31

@oriounga: Je ne te dis pas merci...ou plutôt devrais-je le dire, mais version Anglaise...

McCoy
le 20/02/2023 à 10:44

Toutes mes condos, Orio.

oriounga
le 20/02/2023 à 13:32

@Yota Moteuchi (Yoda Motenaï) et Chris:

De quoi vous plaignez-vous? Je vous avais averti que c'était une horreur qui provoquait des cauchemars...

Pour vous égayer, songez à toutes ces écoles maternelles et primaires qui déguisaient les enfants en champignons pour leur faire chanter cette horreur, lors de la fête de fin d'année, sans que les maîtresses ni les parents ne comprennent le sens (profond?) de la chanson.

McCoy
le 20/02/2023 à 13:37

Je te présentais mes condoléances pour Matsumoto

oriounga
le 20/02/2023 à 20:32

@Chris:

Merci, c'est très gentil.

Je suis en deuil là, j'ai perdu une partie de mon enfance.

Après la mort d'Osamu Tezuka en 1989, le Dieu du Manga, puis celle de Shôtarô Ishinomori en 1998, c'est aujourd'hui le troisième pillier du manga qui s'éteint.

Je conserverai précieusement ses entretiens, emplis d'humanisme.

Au moins, il est maintenant pour toujours dans les étoiles, au milieu de ses amis, Herlock, Toshirô, Emeraldas, Mime...

Li belle bièsse
le 21/02/2023 à 09:21

Sayonara, Matsumoto-senseï! Vous fûtes un Grand, mais je ne comprendrai jamais la raison pour laquelle vous n'avez pas mis un point final à certaines de vos séries emblématiques (Captain Harlock, L'anneau des Nibelungen...)

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