E COMME ÉNERVÉ
Vous connaissez certainement Bernard Launois, immortel réalisateur du film fantastique français le plus edwoodesque de tous les temps (Devil Story : il était une fois le diable) ? Or, voilà-t’y pas que Launois s’est fortement énervé suite à une interview de Charlotte de Turckheim qui, dans le magazine VSD, confessait avoir tourné un porno dans sa prime jeunesse. À savoir un film initialement intitulé Le Gibier, avant d’être retitré Les Dépravées du plaisir lors sa sortie en salles. « Un porno, vraiment porno » prétend l’actrice/réalisatrice de Mince alors ! (chef-d’oeuvre !), et ce à la grande fureur de son réalisateur, Launois donc, qui s’est fendu d’un long tweet en précisant que son film n’était pas porno pour un sou et que Charlotte n’y avait qu’un très petit rôle. Notamment dans un plan où elle conduit un vélomoteur et où il fut impossible, selon Launois, « qu’elle dévoile même ses genoux ! ». Bon, maintenant, reste plus qu’à attendre la réaction de Raphaël Delpard sur les propos de Luc Besson qui, lors du Festival de Sitges de 1983, avait confié à l’auteur de cette rubrique avoir commencé sa carrière comme premier assistant sur « un nanar ». À savoir Les Bidasses aux grandes manoeuvres dudit Delpard…



M COMME MERRICK
Il y a deux Merrick importants en ce bas monde. Joseph Merrick, alias « Elephant Man ». Et Hélène Merrick, alias « la fille de Starfix ». Après avoir raconté ses années de pigiste dans le magazine culte fondé par Christophe Gans et Doug Headline (dans le livre intitulé La Fille de Starfix, donc), Hélène autoédite un nouveau bouquin consacré à ses rencontres avec les action stars des années 80. [...]