Donc au vu du titre, le film se concentre sur la grand-mère.

Tant mieux! Je reluque les trois comédiennes de relic quoi qu’il arrive...

Je m'occupe du reliquat

Aucun rapport avec le film de Peter Hyams? Dommage il était sympa se film.

Cricri fait gaffe quand même c’est délicat!

Delicat essen

Essen ciel


Trois petits chats ?

chat chats chats

Plutôt trois souris (aveugles); les fans d'Agatha Christie comprendront.

Les fans de Shrek, aussi.

Et de Alf

hahahaha mais oui les trois souris aveugle de SHREK elles sont trop marrante comme le cochon avec l'accent allemand.

Le confinement a fait des ravages..............les Laurent Ruquier se sont multipliés........

Apparemment les BACRI aussi.

Ou alors il n’en a pas fait assez du côté des grincheux et des aigris...

Nouvelle discipline olympique : La vannation synchronisée.

Ok mais ça ne vaut pas un bon marvel !

Houuuuu joli. On a lu ça combien de fois ? 22, 23 fois ?


C'est quand même autre chose le comique de répétition. Bien plus créatif.

Oui, constructif même....comme le fait de réclamer des news quand tu viens une fois par semestre pour critiquer le site ou les madnautes...

En tout cas, l'ironie est maniée avec brio. Quand tu trouves les jeux de mots ringards ou pas drôles, t'évites d'en faire un permanent avec ton pseudo.

hahaha jolie, on va rebatiser le site CLASH OF TITANS.

Sinon pour parlé ciné montré hier soir un vieux classique à mon ado, STREETS OF FIRE de Walter Hill en bluray remasterisé (très jolie jaquette d'ailleurs) et très belle image même si nouveau son ça aurait pu être mieux au vu du score de Ry Cooder mais bon, le film à pas trop mal vieilli, les persos tournent en mode badass grande gueule non stop (même le rikiki Rick Moranis, très drôle) et puis bon Diane Lane quoi que ma gamine à quand même reconnu genre "hey, la maman de superman" (ouai elle a évité le "Marthaaaa"). Bref, Michael Paré se la joue western à donf et Willem Dafoe fait très rock star, les scènes d'action sont bien vénère avec de vrais cascadeurs (ça change des cascadeurs CGI qu'on se tape aujourd'hui) et puis donc la zic qui passe toujours nickel pour moi.
Vu aussi les interview récent en bonus ou les acteurs ont pris clairement de la bouteille mais s'exprime sans langue de bois, ce qui est assez rare pour être noté. Michael Paré n'hésite pas à dire que Walter Hill ne le dirigeait même pas, c'était genre "fait ton truc on verra ce que ça donne" alors que l'acteur était à son deuxième film seulement et il dit clairement qu'il était très attiré par Diane Lane (18 ans au compteur à l'époque) et que sa scène d'amour avec elle était assez "compliqué" à gérer pour lui.

Vu enfin VIVARIUM au ciné, Dany et je suis un chouia moins positif que toi (critique complète sur mon profil) même si le film n'est pas décevant.

Quant aux RUES DE FEU qui moisit sur mon étagère depuis une vingtaine de mois, ta critique m'aidera à secouer ma flemme et à le regarder prochainement.

Et à ,tous dont je suis, la vie est trop courte pour se chamailler inutilement. Posons-nous. En paix.

Il y a des jours comme ça où on tombe sur un petit joyau parfaitement dissimulé parmi la rivière de pierreries clinquantes ou distinguées qui s'offrent à nos yeux éblouis. Dans ce cas, il s'agit de THE QUIET, un film de 2006 réalisé par Jamie Babbit avec l'atomasse Elisha Cuthbert et la plus discrète, mais pareillement troublante Camilla Belle. On pense au départ à un thriller féminisé de THE GOOD SON, puis à un film de campus avec rivalité sororale, mais le film, s'il dévoile assez tôt son objectif, a l'intelligence de semer des fausses pistes qui, au lieu de disperser l'attention, enrichissent et raffermissent le thème principal. C'en est au point que, une fois le film terminé, on se rend compte que celui-ci recèle plus de doutes que de certitudes et que les motivations des personnages pourraient être moins évidentes et plus effrayantes que prévu. A moins que ce ne soit mon mauvais esprit qui gauchit une trame parfois convenue mais toujours attrayante. Bonus de taille, l'interprétation de Camilla Belle en jeune sourde-muette qui est estomaquante dans son jeu corporel. Dommage que le scénario se soit cru obligé de surligner ses intentions par une voix off aux pesantes évidences. Bref ce n'est pas une pierre précieuse de la plus belle eau, mais elle mérite plus qu'un coup d'oeil distrait. Pour ma part, c'est un "petit" film qui risque de laisser des traces.

@Pliss, @Chris : j'aime beaucoup Ruquier. Fallait pas mal prendre la comparaison....