Gone Boys
The Go-Go Boys: The Inside Story of Cannon Films
Un petit avertissement pour commencer. Contrairement à Electric Boogaloo: The Wild, Untold Story of Cannon Films, qui a toute latitude pour déconstruire et décrypter avec un humour potache le cahier des charges des films Cannon (c'est d'ailleurs la raison d'être première du projet), la stature de biographie « officielle » et « approuvée » de The Go-Go Boys: The Inside Story of Cannon Films l'empêche de s'attarder comme il le devrait sur une filmographie blindée de nanars intergalactiques. Le chapitre consacré à la grande percée hollywoodienne du studio au milieu des eighties est à ce titre, d'un point de vue strictement critique, le plus faible du long-métrage, les témoignages admiratifs d'Eli Roth (« Quentin Tarantino, le plus grand réalisateur au monde, a une copie 35mm de Ninja III: The Domination chez lui ! La Cannon, c'était du grand art ! ») n'étant contredits que par des extraits de journaux ou d'émissions télévisées vintage. Dans une apparition éclair, l'American Ninja en personne Michael Dudikoff scande certes son admiration pour les exploits de Charles Bronson dans les séquelles d'Un justicier dans la ville, mais oublie de s'attarder sur son statut de simple employé dans l'usine à films qu'était The Cannon Group. Si Jean-Claude Van Damme, interrogé en [...]
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lau
le 21/10/2014 à 10:01LAST AMERICAN VIRGIN un navet ? WHAT THE FICHTRE !! mauvais exemple..il y a pourtant le choix chez CANNON. en passant je conseille a tous de voir ou revoir RUNAWAY TRAIN, un putain de chef d'œuvre meconnu, tendu et percutant..
Burnett
le 21/10/2014 à 10:18Les deux docs me font envie, par contre "Massacre à la tronçonneuse 2" me laisse pas le même souvenir. Du tout.