Give me five Mick Garris
LA FIANCÉE DE FRANKENSTEIN DE JAMES WHALE (1935)
DEUX NIGAUDS CONTRE FRANKENSTEIN DE CHARLES BARTON (1948)
« Je pourrais choisir n’importe quel Universal Monster, mais si je devais n’en sélectionner qu’un, ce serait La Fiancée de Frankenstein. J’ai découvert ce film vers onze ans à la télévision. Une chaîne locale de San Diego, où j’ai grandi, diffusait les films Universal tous les samedis. Toutes ces oeuvres m’ont beaucoup influencé, et m’ont attiré vers le genre horrifique. À l’époque, je me souciais peu de la mise en scène. Je commençais tout juste à écrire. Mais j’ai trouvé La Fiancée de Frankenstein fascinant et magique. Il y avait une noirceur, mais aussi un humour noir incroyable. J’ai senti qu’il y avait quelque chose d’irrévérencieux dedans. L’idée qu’on s’identifie au monstre m’a marqué, également. C’était le cas dans tous les films Universal. D’ailleurs, impossible de ne pas citer Deux nigauds contre Frankenstein. J’ai adoré la manière dont il mélangeait la comédie et l’horreur, c’était vraiment unique ! Au quotidien, je me sens donc vraiment connecté à ces films. Quand je les ai découverts, mes parents étaient en train de se séparer. Quand ce genre de choses arrive, on a tendance à explorer son c&oc [...]
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