Give Me Five Mark 'Crash' McCreery
OPÉRATION TONNERRE DE TERENCE YOUNG (1965)
« J’avais cinq ans, mon père était stationné dans une base de l’Air Force à Hawaï. Le week-end, il nous emmenait, ma mère, mon frère, mes deux soeurs et moi, voir des films au drive-in. Opération tonnerre est mon premier vrai souvenir de cinéma. On avait pris des sacs de couchage et on s’était allongés sur le toit de la voiture. Je peux encore sentir le mélange d’hibiscus et de popcorn qui flottait dans l’air, alors que le ciel s’assombrissait et que l’écran commençait à projeter les images du film. Sean Connery, c’était la coolitude incarnée. Je voulais être lui. Je voulais un flingue, des gadgets, et sa voiture. Mon père m’a d’ailleurs acheté le « James Bond Attaché Case », un jouet que j’ai toujours chez moi. La valise pouvait tirer une fléchette, et il y avait plein de gadgets d’espion dedans. Aussi, enfant, j’ai appris le piano pour pouvoir jouer le thème de James Bond ! »
LA MAISON DU DIABLE DE ROBERT WISE (1963)
« J’étais en vacances avec ma famille, en 1971, j’avais 11 ans. On s’était arrêté dans un motel bon marché qui disposait d’une télévision noir et blanc merdique. Mais ce soir-là, nous avons regardé La Maison du Diable, et dès le premier plan, je me suis dit que c’était le film le plus terrifiant jamais tourné. La qualité d’image était horrible, le son grésillai [...]
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