C'est grave, docteur ?

Lazarus Effect

Sous influence et formaté, Lazarus Effect est à n'en point douter un produit de consommation courante destiné à alimenter les multiplexes. Ce qui ne veut pas dire que le résultat soit dépourvu d'idées et de qualités.

Devenu le nouveau parrain du fantastique (mais pas que) depuis le carton de Paranormal Activity en 2007, le producteur Jason Blum alimente avec une implacable régularité les réseaux cinématographiques, télévisés et vidéo à grand renfort de séries B horrifiques dont la modestie financière n'empêche pas certains des titres de sa boite Blumhouse de rencontrer un succès colossal. Found footage (Unfriended, Mockingbird), ghost story (Insidious, Ouija), slasher (The Town That Dreaded Sundown), SF (Dark Skies), comédie (Stretch)… Aucun genre ne lui résiste pourvu que le produit corresponde à la fameuse formule du « Low budget, high concept » que lui jalousent ses adversaires. Tourné pour moins de quatre millions de dollars et doté d'un pitch accrocheur, Lazarus Effect ne déroge pas à la règle et évoque, dès ses premières séquences, le mal-aimé L'Expérience interdite (1990) de Joel Schumacher. Un long-métrage souvent accusé de prosélytisme alors [...]

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Commentaire(s) (4)
danysparta
le 07/03/2015 à 16:24

ouai ok mais Olivia Wilde est à poil ou pas ?

Fausto Fasulo
le 09/03/2015 à 12:05

Non.

danysparta
le 09/03/2015 à 16:25

Pfff je vais voir ALPHA DOG alors.

thirdeyemachine
le 06/08/2015 à 17:45

Mince alors, je croyais que ce film était sorti directement en vidéo, moi ! Il a donc fait l'objet d'une petite sortie technique ?

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