Blind Buy ?

Don't Breathe 2

Don't Breathe 2 en vidéo pour 2022

Après une sortie discrète au cinéma, Don't Breathe 2 débarquera chez nous en vidéo le 19 janvier 2022 sous la forme d’un DVD et d’un Blu-ray édités par Sony. Chacune de ces galettes proposera le film de Rodo Sayagues (coscénariste du premier volet) dans un transfert au ratio 2.39 auquel s’aouteront des pistes françaises/anglaises mixées en 5.1. Les bonus se résumeront à une poignée de featurettes thématiques et un commentaire audio assuré par le réalisateur. Pour info, les possesseurs de platines Ultra HD devront se tourner vers les États-Unis où ils pourront dégotter une copie 4K d’excellente tenue que Sony France n'exploitera visiblement pas chez nous sur support physique. 


Commentaire(s) (5)
oriounga
le 25/10/2021 à 11:26

Je l'achèterai et le visionnerai les yeux fermés tant j'ai une confiance aveugle dans le réalisateur.

En revanche, j'espère que je ne m'arracherai pas les yeux devant le résultat.

McCoy
le 25/10/2021 à 14:08

Moi aussi, il me fait de l'oeil

danysparta
le 25/10/2021 à 16:22

C'était sympa mais ça vaut quand même pas le premier.

Sinon vu TITANE hier soir (enfin) et finalement, autant j'ai aimé GRAVE autant là j'aime moins. La première moitié est pas mal du tout et l'actrice se donne vraiment corps et âme pour la réalisatrice quitte à incarner un perso difficile à apprécier mais la réalisation est impressionnante de maitrise, j'ai juste beaucoup de mal avec la seconde moitié trop WTF pour moi même si de très beaux SFX accompagne le délire je n'ai pas accroché du tout. J'attendrais quand même le prochain film de la belle Julia car les réals de genre sont très précieux et rare dans notre Pays.

Aïl-ss Kyoub
le 25/10/2021 à 21:22

@Dany : je comprends ton ressenti pour Titane. Je ne sais pas quoi penser de ce film dont le scénario n'aurait pas déteint dans les 70's, sous trip psyché !

Li belle bièsse
le 29/10/2021 à 10:46

@ Dany

Cher lacédémonien,
Pardon de n'avoir pas répondu plus vite, mais j'ai mes raisons qui n'ont rien à voir avec aucun d'entre vous ni avec le site.

Ceci posé, je dis bravo au surnom que tu as donné à l'équipe de Movie Death Contest. "Starsky et Hutchette, il fallait y penser! J'ezn rajoute une couche en proposant "Starsky et Hatchet(te), c'est plus approprié à l'esprit incisif et pénétrant de Katy.

Pour THE INVITATION, navré que tu n'aies pu le voir; il fait partie des très bons films de Karyn Kusama D'ailleurs, je trouve que c'est une réalisatrice qui passe sous le radar depuis sa spectaculaire sortie de route avec AEON FLUX. Hormis une notule, même pas lunaire, dans Mad Movies pour THE INVITATION, rien après JENNIFER'S BODY. Pourtant, on aurait pu traiter de DESTROYER, film noir dépressif avec une Kidman étonnante, bien qu'elle marche sur les brisées de la Charlize Theron de MONSTER. Quant à THE INVITATION, c'est imparable dans le suspense qui grandit insidieusement et dans le malaise vague mais prégnant qui s'installe à partir de la scène de la vidéo. sans parler du plan final aussi allusif et percutant qu'un Haïku. Donc espère no despair. Vu sa qualité, il réapparaîtra un jour ou l'autre.

TITANE, je suis totalement fan, mais j'admets que le film ne dispense pas ce sentiment d'immédiateté qualitative. A plus tard pour une argumentation plus solide car j'en arrive au gros morceau, le ressenti que tu m'avais demandé sur le dernier James Bond.

En un mot comme en cent, j'ai adoré. Inutile d'ajouter que Daniel Craig tutoie les cieux dans un rôle qui remisé, parfois injustement ses autres interprètes dans l'ombre. Mais, plutôt que d'enfoncer des portes ouvertes, ce qui m'a le plus parlé, c'est la cohérence des cinq films de Craig qui forment un tout thématique, celle d'un héros de tragédie grecque dont l'orgueil défie les dieux et qui en paie le prix fort. S'opposant au chaos, il est condamné à être petit à petit privé de tous ses liens avec l'humanité qu'il défend: sa mère de substitution, son père adoptif, ses amours, ses ennemis, son empathie, ses amis, ses illusions toujours trahies et j'en passe. Rien d'étonnant donc à ce que la conclusion soit en adéquation avec tout ce qui a précédé, celle d'une dépossession déchirante qui le mythifie et sonne en même temps comme une lumineuse promesse d'avenir. A croire que la scène d'ouverture de SPECTRE était prémonitoire. Celle de NO TIME TO DIE, justement, presque un film en elle-même, de par sa structure narrative et les surprises qu'elle réserve, est annonciatrice du spectacle et du drame qui va se déployer. Bref, 2h40 qui ont passé en un éclair, dans lesquelles mon morceau de bravoure n'est le virtuose plan-séquence de l'escalier ou la traque dans la forêt norvégienne, mais la confrontation verbale en apparence paisible, mais en réalité tendue au possible, entre le héros et sa plus grande némésis. Les dialogues font mouche , en particulier celui de Christoph Walz (une seule scène, mais non didju quelle présence!) qui pourrait servir de fil conducteur à cette superbe pentalogie: "Je n'avais pas besoin de te tuer, il me suffisait de rendre ton monde aussi vide que le mien!".

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